jeudi 28 novembre 2013

Festival SICA 2013


Alli Wassi et son staff exposent leur limite organisationnelle, que du vent

La 9ème édition des Stars de l’intégration culturelles africaines, aura été un non événement. Pour preuves, plusieurs notes de mal organisation et de mauvaise gestion ont émaillé sa tenue.
Alli Wassi entouré de ses collaborateurs
 Un gâchis total qui devrait donner de l’insomnie aux organisateurs, plutôt qu’une quelconque note de satisfaction.  Ce n’est que la vraie face de l’Iceberg, que des gens qui se croyaient habiles ont su gérer jusque là.  Et comme toute chose à son temps, le pot au rose d’une mal organisation toujours camouflée, qui aurait chaque année caractérisé, le soit disant festival de l’intégration,  a été découvert. Ceci devrait donner une idée précise aux autorités de ce pays, qui préfèrent injecter des dizaines de millions du pauvre contribuable béninois dans du vent, pendant que de vrais festivals qui rehaussent l’image du Bénin sont financièrement à la traine. Cette affaire, de son début jusqu’à son épilogue, n’aura été que du vent, du cafouillage, une honte pour la culture béninoise et partant des pays qui y étaient représentés. On ne peut pas, après 13 ans d’organisation d’un festival et 9 ans de l’autre se permettre, de montrer au monde ce manque  criard d’expérience dans l’organisation, cette limite, de patience à gérer, les hommes et les moindres problèmes.  Des ratées seraient donc longues comme les grains d’un chapelet que nous n’allons pas énumérer ici. Du désordre généralisé, donc qui devrait permettre au ministre de la culture de savoir quoi inaugurer, ou quoi lancer officiellement. Car de ses événements qui ternissent l’image du pays, n’ont pas besoin forcément de la présence des autorités. A l’heure du bilan, s’ils en font un après festival, les organisateurs d’un tel gâchis, doivent savoir que leur apogée était atteint et que là ils viennent de connaitre leur déclin. Nous reviendrons beaucoup plus en détail sur toutes les ratées d’un festival qui n’a plus sa raison d’être.

Patrick Hervé YOBODE

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