jeudi 30 juillet 2015

PANAME SHOP VOUS PROPOSE DE CHANGER DE LOOK

PANAME SHOP ET LA JEUNESSE BENINOISE CREE UN NOUVEAU STYLE


Béninoises, béninois du nouveau pour vous à Cotonou. Désormais habillez-vous chic, habillez-vous avec goût et élégance et sortez tout en ayant l’allure fière. Finissez avec les habits de gammes chinoises et les fripes venues du Nigeria. Désormais des vêtements de qualité pour jeunes et de marques européennes chez vous. Paris est désormais à Saint Michel avec la boutique PANAME SHOP et vous propose des tenues de marques supérieures pour nous jeunes à des prix très réduit. Faites-y un tour et vous ne serez pas déçu. C’est une initiative d’un jeune béninois qui aime son pays et qui a le souci de voir ses frères et sœurs béninois, bien pimpants et toujours élégants.  Il mérite donc notre soutien par nos achats de divers produits dans cette boutique. PANAME SHOP dispose également des chaussures de dernières générations. Créer votre style désormais avec PANAME SHOP sis à Saint Michel en face de la Poste de Jéricho ou appelez le 21 38 63 46.

 PANAME SHOP, c’est une histoire de Design by G.H.J 
Hubert J.G. PDG PANAME SHOP

mardi 28 juillet 2015

Grande cérémonie d’hommage au roi Feu Dada Tossoh Gbaguidi XIII

‘’J’aiderai de mon mieux le nouveau roi à poursuivre les œuvres laissées par Dada Tossoh’’ Dixit Juliette Gbaguidi

(Elle revivifie les souvenirs d’un grand roi et d’un grand homme)

Le dimanche dernier, s’était tenue dans le pavillon du Hall des arts, loisirs et sports de Cotonou, la cérémonie d’hommage annoncée par Juliette Gbaguidi Epse Gbéti. Initiée pour honorer la mémoire d’un souverain pas comme les autres et pour raviver les souvenirs de son court règne sur le trône de ses ancêtres, cette cérémonie aura été assez sobre, où émotions et douleurs se dégageaient, montrant la grande perte que constitue sa disparition aussi brusque que soudaine. Plusieurs cadres natifs de Savalou, des têtes couronnées et l’Association Enfants Mahi du Bénin ont effectué le déplacement.

La grande cérémonie d’hommage au roi, le plus travailleur, au panafricaniste le plus battant et le plus développeur de sa génération s’est effectivement tenue, ce dimanche 26 juillet 2015. Initiée par Juliette Gbaguidi Epse Gbéti, une autre digne fille du royaume de Dada Soha, fondateur de Savalou, la cérémonie a reçu l’assentiment de plusieurs autorités et cadres du Bénin, notamment ceux de Savalou. C’est pour cela que le ministre Benoît Assouan Dègla, président d’honneur de ladite cérémonie a effectué le déplacement du Hall des arts. Puisque c’est à Tossoh que les honneurs étaient réservés, le cadre de Savalou qui était plus proche de lui, n’avait pas voulu se faire compter l’événement. Gabin Allognon, Drfm du ministère des finances était aussi là. Sorel Georges Yamontché représentait la progéniture de sa Majesté Feu Dada Tossoh Gbaguidi XIII. Pour le compte de la Haute autorité royale, le regroupement des rois du Bénin, dont le roi Tossoh était le fondateur, sa Majesté Zéhè, roi d’Agonlin était de la partie.

Une initiative louable et salutaire, prise par la Pdg de Beauté Ronde pour honorer la mémoire d’un homme de développement, d’un roi rassembleur et travailleur. Etant l’une des personnes les plus proches du roi de son vivant, il faillait pour elle, malgré la vive douleur que lui inflige cette disparition, le célébrer et raviver ses souvenirs dans la mémoire collective. C’est donc ce qui a motivé cette brave dame, a initié cette grande cérémonie d’hommage. Pour elle qui ne peut oublier de sitôt sa Majesté Tossoh, pour elle qui se rappelle comme si c’était hier son départ vers l’au-delà, il faillait forcément faire savoir, qu’il avait de nobles ambitions pour le développement du Bénin, l’unité de l’Afrique et le rayonnement de Savalou.
Plusieurs artistes, dont notamment Gbétchéou le plus aimé par le roi, la Bénédiction et le groupe folklorique de l’Association Enfants Mahi du Bénin, ont joué leur partition pour la partie ambiance d’une cérémonie, chargée en émotion et qui faisait remarquer la douleur, toujours présente d’une séparation inattendue. En somme, une initiative très appréciée, qui a immortalisé en partie le roi le plus travailleur du Bénin des dernières générations
Mme Juliette Gbaguidi Epse Gbéti

A cette cérémonie grandeur nature, Juliette Gbaguidi digne fille de Savalou a rappelé à toute l’assistance que le nouvel homme fort du royaume est son frère.« "Gandjègni Awoyo Gbaguidi XIV" est mon frère directe, nous avons grandi ensemble, nous nous connaissons très bien», disait-elle. Elle promet jouer de tout son poids en mettant les moyens nécessaires pour l’aider à tisser sa corde de développement à celle laissée par son prédécesseur. « J’ai toujours été là et j’ai toujours apporté mon soutien à Dada Tossoh Gbaguidi XIII, en ce qui concerne ses actions de développement, et je promets faire de même avec le nouveau roi qui est mon frère pour qu’il accomplisse comme son prédécesseur des œuvres de développement pour le rayonnement de Savalou », renchérit la Pdg de Beauté Ronde.

Dada Tossoh Gbaguidi XIII en bref

Dada Tossoh Gbaguidi XIII, roi de Savalou a été un citoyen, un militaire et un roi, qui pendant sa vie aura marqué positivement son passage. Homme de principe, qui sait donner les moyens de ses actions, il n’hésitait pas prendre des risques pour le bonheur collectif. Souvent incompris par certains en ce qui concerne ses décisions, il a lui, toujours une idée très claire de ce qui pourrait rendre le royaume de Savalou attrayant. Roi rassembleur, développeur et ayant le goût du beau, il s’est créé des relations de par le monde, afin d’en tirer le maximum pour hisser le Bénin et Savalou sur orbite. Panafricaniste engagé, il aimait tous les enfants de son pays le Bénin et de l’Afrique. Fédérateur et pacificateur, il rêvait à l’unité de l’Afrique et se donnait les moyens, aux travers notamment de la Haute Autorité Royale, une fédération des rois du Bénin, des fora des rois d’Afrique, création de la fédération des mouvements africains pour les Etats Unis d'Afrique. Roi, mais un Manager doté d’un sens élevé de négociation, il avait des partenaires partout. C’était un modèle pour bon nombres de jeunes. On en finira pas d’énumérer les qualités de l’homme, tant il était un grand développeur, un souverain pas comme les autres.


Patrick Hervé YOBODE

Audience au MCAAT

Paul Hounkpè reçoit Lawrence Obisakin Ambassadeur du Nigéria près le Bénin

Le Ministre de la culture, de l’alphabétisation, de l’artisanat et du tourisme (Mcaat), Paul Hounkpè a reçu en audience dans la matinée du lundi 27 juillet 2015, l’Ambassadeur de la République Fédérale du Nigéria près le Bénin, son excellence Dr Lawrence Obisakin. Quatre points étaient inscrits à l’ordre du jour de leurs échanges.
Paul Hounkpè, Ministre de la Culture, de  l'Alphabétisation de l'Artisanat,et du Tourisme
Après avoir félicité le Ministre Paul Hounkpè pour sa nomination et les deux pays pour les protocoles d’accord culturels renouvelés, renégociés les 18 et 19 Décembre 2014, au cours de la commission mixte Nigéria-Bénin, l’Ambassadeur Lawrence Obisakin a rappelé au ministre les dates convenues par les deux pays, pour la représentation des livres Yoruba par le gouvernement de la République Fédérale du Nigéria. A ce point, le Ministre Paul Hounkpè a rassuré l’Ambassadeur que l’étude de la langue Yoruba sera approfondie et vulgarisée. Mieux, la langue Yoruba sera étudiée phonétiquement, a-t-il dit.

Pour l’Ambassadeur Lawrence Obisakin, étudié phonétiquement la langue Yoruba va lui faire perdre sa valeur et  son authenticité. Il s’agira alors de l’étudier dans son écriture originale afin de permettre aux étudiants de mieux l’écrire et en parler.

L’Ambassadeur a également rappelé au ministre  le programme de professeurs Yoruba par le biais du Corps d’Aide Technique.

Pour finir, l’Ambassadeur de la République Fédérale du Nigéria près le Bénin, Lawrence Obisakin a invité le ministre Paul Hounkpè à l’ouverture officielle du projet d’exposition d’art conjointe par le Pasteur Idowu Otun et la Sœur Henriette Goussikindey dans les locaux de l’Ambassade  du 07 au 12 Septembre 2015.

Patrick Hervé YOBODE



lundi 27 juillet 2015

Ecrans Noirs 2015

La Bénino- camerounaise Astrid Ariane Atodji honorée

Le prix du meilleur documentaire à la 19ème édition du festival  de cinéma Ecrans Noirs est revenu au long métrage ‘’La souffrance est une école de sagesse’’ de la jeune réalisatrice  bénino- camerounaise  Ariane Astrid Atodji. Tel est le verdict rendu public au cours de  la cérémonie de clôture de l’événement le samedi 25 juillet 2015  à Yaoundé au Cameroun.

Astrid Ariane Atodji

‘’La souffrance est une école de sagesse’’, ce film de 72 minutes  aborde   principalement le thème  d’immigration.  Il raconte l’histoire d’un père de famille qui abandonne tout au Bénin et s’exile au Cameroun, l’année où son épouse accouchait d’une fille.   Qu’est- ce qui pourrait conduire  ce fondateur de foyer conjugal  à tourner définitivement dos à sa terre natale sans aucune trace ? C’est la préoccupation majeure de sa progéniture, quarante ans environ après son exil.

Cette interrogation qui taraude la fille du héros  du documentaire, semble trouvée une réponse auprès des membres du jury aux Ecrans Noirs 2015.

Le film  d’Ariane Astrid  Atodji est désigné « Ecran du meilleur documentaire ».  La jeune  réalisatrice, d’origine béninoise, est ainsi honorée. Avec ce même film réalisé en 2014, elle a participé,    à divers événements de cinéma dont  le festival Bobines sociales à Paris, au FESPACO 2015 à Ouagadougou, le  festival du film documentaire de Saint Louis au Sénégal  et Les Escales documentaire de Libreville au Gabon.

Cette distinction de la jeune bénino- camerounaise  fait suite à plusieurs autres qu’elle avait eues. Au nombre de celles- ci, on a sa consécration  d’avril 2011 en France  au cours du festival international des films documentaires de Paris.


Il est nécessaire de souligner que  l’écran d’or 2015 est revenu au Sénégalais  Nicolas  Cissé avec son long – métrage Mbeubeuss.

CONAVAB Inter 2015

Echo Divin et Atem Lokossi, 10ème et 11ème qualifiés pour les huitièmes

Le chapelet de la 18ème édition de la plus prestigieuse compétition musicale au Bénin, continue d’être égrené sur les radios partenaires. Chaque semaine du lundi au samedi, les auditeurs prennent comme c’est le cas depuis plusieurs années, le rendez-vous de ces radios pour écouter, apprécier et attribuer leur point à l’artiste le plus méritant. C’est donc à cet exercice qu’ils ont sacrifié les jeudi 16, vendredi 17, samedi 18, lundi 21, mardi 22 et mercredi 23 juillet 2015, pour envoyer en huitièmes de finale, Echo Divin et Atem Lokossi.  Le jeudi 16 juillet, il y avait donc match entre Echo Divin et Trinité de Gbakpo, dans le groupe J des départements de l’Ouémé-Plateau. Une rencontre remportée les mains levées, pars Echo Divin avec un score de 208 points contre 033, pour Trinité de Gbakpo. La seconde confrontation de cette poule opposait, Petit Meilleur et Botman. Ce dernier a vite fait de courber l’échine devant Petit Meilleur, qui s’en sortait avec 133 votants contre 076. En petite finale de ce groupe J, Petit Meilleur, n’aura vraiment pas été le meilleur, car il se faisait étriller par Echo Divin, sur un score de 235 points contre seulement 036.

A la suite du groupe J, c’est le groupe K des départements du Borgou-Alibori, qui entrait en lice. Pour le compte du premier match, Aloïha était face à Kinha. Une partie qui aura été vraiment disputée, pour à la fin livrer, un vainqueur qui n’était autre qu’Aloïha. Il totalisait 160 votants contre 105, pour Kinha. La seconde rencontre, mettait aux prises, Pio Djigla et Lokossi Atem. L’homme n’a pas pu faire le poids devant la détermination de la femme, qui venait à bout de Pio, avec 253 points contre seulement 015. En petite finale Aloïha retrouvait alors Atem Lokossi. Là il y avait match. La patrie a été vraiment disputée, mais au finish, ce serait Atem Lokossi, qui prendra le ticket de cette poule K pour les Huitièmes de finale. Elle remportait la partie avec 157 points contre 114 pour Aloïha. D’autres poules ont déjà livré leurs verdicts, que nous vous communiquerons dans nos prochaines livraisons.


Patrick Hervé YOBODE  

dimanche 26 juillet 2015

Miss Bénin 2015

Mlle Sylvania Chelsea Fandohan honore le Zou

La phase finale de l’élection Miss Bénin 2015 s’est tenue le samedi 25 juillet 2015 à Dream Beach de Cotonou. Cet événement riche en couleurs et en sons s’est déroulé sous l’égide du Ministre en charge de la culture, Paul Hounkpè. Au terme de cette grand-messe de beauté féminine Sylvania Chelsea Fandohan a été élue Miss Bénin 2015.
Mlle Sylvania Chelsea Fandohan, Miss Bénin 2015
Mlle Sylvania Chelsea Fandohan âgée de 18ans, d’une taille de 1, 76 m, précédemment Miss Zou 2015, est celle qui détient désormais la couronne de beauté féminine du concours national Miss Bénin édition 2015. Elle est suivie de Mlle Ornella Ferreira Lokonon, Miss Couffo première dauphine, Carine Roli Omolara Ekperigin, Miss Collines deuxième dauphine. En effet, la soirée au cours de laquelle elles ont été élues a démarré par une parade de douze (12) candidates à raison d’une candidate par département. Ces candidates ont défilé en tenues traditionnelle, olympique et de soirée devant des membres du jury présidés par Mme Viviane Ayaba Sissouh Après cette phase classique, le jury a procédé à une première délibération où sept des douze candidates ont été retenues pour exhiber leur beauté intellectuelle.

Tour à tour, elles ont répondu à une question unique qui est de dire les atouts touristiques de leur département. Après cette phase, Mlle Sylvania Chelsea Fandohan âgée de 18 ans , d’une taille de 1, 76 m, précédemment Miss Zou 2015 a plus mérité la confiance des membres du jury. « La soirée de l’élection Miss Bénin 2015 a été meilleure à celle de 2014 qui a été meilleure à celle de 2011 », ont reconnu à l’unanimité les spectateurs qui ont décerné un satisfecit à l’Association culturelle Miss Bénin (Acmb) présidée par M. Fortuné Dégbégni. Rappelons que l’évènement « Election Miss Bénin » vise à valoriser la femme et la beauté béninoise, assurer une bonne gestion de l’image de l’événement Miss Bénin et lui permettre d’assurer sa fonction première qui est de mettre en compétition des jeunes filles intelligentes, instruites, belles, sophistiquées et charismatiques de notre cher pays. Ensuite, parvenir à choisir la meilleure d’entre elles, en vue d’assurer une très bonne représentation de la femme béninoise hors de nos frontières.
Miss Bénin 2015 et ses Dauphines
L’autre objectif visé par l’Acmb à travers cet évènement, c’est de promouvoir, de valoriser, d’exporter la culture béninoise de même que les artistes Béninois et de susciter la créativité artistique en promouvant l’utilisation de l’image et de la voix de la miss Bénin et celles de ses dauphines par les institutions pour la sensibilisation des masses ainsi que par les opérateurs économiques via la promotion des produits et services béninois. Outre cela, il est aussi envisagé de faire de l’événement Miss Bénin un élément fédérateur d’activités sociales, touristiques et culturelles.

S’agissant des lots, la Miss Bénin 2015 prendra désormais deux millions (2.000.000) de f CFA sur son compte et un véhicule « Toyota Yaris » d’un montant de 15.000.000F. La liste des lots à prendre par la Miss Bénin 2015 est très longue. Quant à la première dauphine, elle prendra une moto, une enveloppe financière de 700.000 F Cfa, six mois de soins à l’Institut de beauté Aïcha et bien d’autres lots en nature. Comme la première, la deuxième dauphine aura une moto et une enveloppe financière de 500.000 F Cfa. Des lots par des moindres sont également prévus pour la troisième et la quatrième dauphine

Il est important de rappeler que la  3ème Dauphine est Mlle Stéphanie Foumilayo Bidé, Miss Plateau et la 4ème Dauphine est Mlle Osnelle E. Mélys Houégbèlo, Miss Atlantique.


Patrick Hervé YOBODE

« Le Plasticien à l’écoute de l’esprit pour la création d’œuvres majeures »

Une vingtaine d’artistes ont pris part à une session de renforcement des capacités

L’Association pour la promotion de la jeune création en art plastique (Apj-Cap), a organisé pendant quatre (04) jours une session de renforcement des capacités au profit des artistes plasticiens. Les initier aux dimensions de l’esprit, les amener à être perpétuellement à l’écoute de l’esprit pour refléter cela dans leurs œuvres. Voilà la raison qui a poussé l’Apj-Cap à initier cette session de renforcement des capacités qui se déroulait sur le thème :’’ Le Plasticien à l’écoute de l’esprit pour la création d’œuvres majeures’’. Pour encrer la notion dans leurs esprits, appel a été fait à Maître Bobos Adoho, spiritualiste avéré et Prêtre du Fâ. Le lancement de cette activité et la formation ont eu pour cadre, le siège de la Fédération des Associations professionnelles des plasticiens et graphistes du Bénin (Faplag-Bénin), les 23 au 26 juillet dernier.
Le présidium au lancement de la session de renforcement des capacités
Se transcender dans la création d’œuvres d’art, se maîtriser et maîtriser son environnement afin de réussir à s’imposer en tant que Homme, développer sa conscience pour une créativité sans limite. En somme, être à l’écoute de l’esprit partout et à tout moment pour arriver à créer des œuvres majeures, des chefs-œuvres. Voilà l’ambition que nourrit pour les artistes plasticiens et l’art plastique béninois, l’Association pour la promotion de la jeune création en art plastique (Apj-Cap). Pour y parvenir, elle a initié avec l’appui du fonds d’aide à la culture (Fac), une session de renforcement des capacités des artistes du monde des arts visuels.

Une session de renforcement des capacités, dont les artistes, mesurant sa portée se sont inscrits massivement pour en bénéficier. Mais au finish, ceux-là qui avaient déjà des aptitudes sur la question ont été sélectionnés pour y prendre part. Afin qu’ils soient vraiment outillés et qu’ils maîtrisent l’appel ou la communication de l’esprit, appel a été fait à un ogre du domaine de la spiritualité. Maître Bobos Adoho, est allé les entretenir et les enseigner sur les dimensions de la spiritualité dans leur travail de tous les jours. L’Homme : la mesure d’une créativité infinie ; qu’est-ce que l’Homme ; compréhension globale de Dieu ; les différents plans de l’Etre ; la notion du Pure Potentialité ; l’importance de l’Aura et des Couleurs ; la vie d’esprit : la notion de l’intention et du désir ; conseils pratiques ; Nombres et symbolisme, ont été les grands axes d’une session de formation qui aura duré 4 jours.

Dans le cadre de son lancement, le président de la Faplag-Bénin, Philippe Abayi, s’est réjoui du fait que le siège de la fédération qu’il dirige, soit retenu pour abriter cette session de renforcement des capacités. Il a demandé aux participants, l’engagement et la disponibilité pour suivre cette formation afin d’en tirer le maximum. A sa suite, Guy Domingo Trésorier de l’Association et représentant de Grégoire Noudéhou, président de l’Apj-Cap, prenant la parole, a insisté sur le fait que l’appel et l’inspiration de l’esprit sont des choses que nous côtoyons, tous les jours, d’où est-ce que nous sommes, d’où nous venons et quelles sont les valeurs essentielles de nos racines.  Voilà tant de choses qui constituent des indicateurs de l’écoute de l’esprit en matière d’art visuel. Venue représenter le Dfac empêché, Mme Isabelle Gnancadja, dira que l’initiative de l’Apj-Cap est louable d’autant qu’elle participe au renforcement des capacités des artistes professionnels des arts visuels.

Désormais outillés, ces artistes pourront faire face aux exigences du marché de l’art qui devient de plus en plus concurrentiel, en créant des œuvres qui dépassent l’entendement humain, comme les Léonard de Vinci, Picasso et autres.

Patrick Hervé YOBODE    

jeudi 23 juillet 2015

Décoration des journalistes culturels et de certaines personnalités

LaudamusSègbo donne de la valeur à ceux qui se battent pour la culture

(Votre humble serviteur Patrick Hervé Yobodè distingué)

La cours intérieure de l’espace Café des Arts chez Carine au quartier Fidjrossèa abrité le samedi 18 juillet dernier un événement inédit. Il s’agissait de la toute première initiative qui reconnaissait les mérites des journalistes de la presse culturelle du Bénin et de certaines personnalités, qui ont marqué le monde culturel. Organisé par LaudamusSègbo, artiste plasticien, performeur, scénographe, réalisateur, etc, l’événement les ‘’Trophées Plumes Dorées’’ a retenu l’attention. Plusieurs journalistes, radio, télé et presse écrite ont été honorés. C’était tout simplement inédit et du jamais vu.Une première griffe de son Agence Afrik’Art Com.
Patrick Hervé YOBODE ET L'Informateur honorés
Il l’annonçait à travers une conférence de presse il y a quelques jours. Beaucoup pensaient qu’il plaisantait et qu’il n’avait pas les moyens de sa politique. Eh ! bien LaudamusSègbo vient de prouver à la face du monde qu’il porte les acteurs de la presse culturelle du Bénin dans son cœur. La cérémonie de reconnaissance des mérites des journalistes culturels a eu bel et bien lieu. Une trentaine au départ sur la liste des nominés, ils sont une vingtaine à être honorés par LaudamusSègbo et son staff. Dans le même sillage, une quinzaine de personnalités qui ont marqué le monde culturel, de par leurs actions ont également été distingués.

Ils étaient Marcel Kpogodo, du journal Le Mutateur ; Erick Gbèmavo, de Abp Zou-Collines ; Patrick Hervé Yobodè, du journal l’Informateur ; Franck Raoul Pédro, du journal l’Autre Quotidien ; Yves Patrick Loko, du journal Matin Libre ; Henri Morgan, du journal Le Matin ; Hector Tovidokou, du journal Le Potentiel ; Victorin Fassinou, du journal La Presse du jour ; LaurendaSonon, de 24 Heures au Bénin. En ce qui concerne la presse écrite.

Pour le compte de la radio et de la télévision, il y avait respectivement, DonklameAballo de Soleil FM, Joël Ahoffodji de Sikka Tv, Freddy Padonou de Canal 3 Bénin et Assiom Gaba de BB 24. Chacun d’eux a reçu une toile de l’artiste d’une valeur monétaire de plus de deux cents (200.000) mille francs CFA. Ce faisant, LaudamusSègbo, reconnaissait leur dévouement, leur abnégation, leur passion pour le journalisme et pour la culture et leurs efforts quotidiens pour une culture béninoise, plus rayonnante sur tous les plans.
Laudamus Sègbo et Patrick Hervé Yobodè
Il ne s’arrêtera pas là, l’enfant terrible du royaume de Savalou. En  plus des journalistes culturels, il a distingués certains de leurs aînés et d’autres personnalités qui œuvres par leurs actions à la promotion de la culture. Ils étaient, Jérôme Carlos, DG Capp FM, Bonaventure Assogba, directeur du fonds d’appui à la production cinématographique, Hermès Gbaguidi directeur du développement des Médias, Pascaline Ahouilihoua, directrice de la radio nationale, AkilathSéïbouIdrissou directrice de Ado FM-TV, Alain Adjibadé directeur de Acajou Communication, Juliette Gbaguidi directrice de Beauté Ronde, Etienne Cossi ministre de la communication, etc. ils sont repartis chacun avec un Trophée Plumé Dorée plus une toile.

Une très belle soirée de gala en somme, où l’émotion se lisait sur le visage des journalistes culturels, qui n’ont jamais connu une telle reconnaissance pendant leur carrière. Pour la partie ambiance, Jospinto, SiscoDan’Son, KaëlRidcky, jeunes talents en devenir, la Bénédiction avec son Akonhoun, étaient là pour agrémenter la soirée.

Patrick Hervé YOBODE

lundi 20 juillet 2015

Juliette Gbaguidi à propos de la Cérémonie d’hommage à sa Majesté Feu Tossoh Gbaguidi XIII de Savalou

‘’Nous célébrons la mémoire d’un roi remarquable et développeur ce dimanche 26 juillet au Hall des Arts’’

Décédé le jeudi 18 septembre 2014, dans des conditions peu orthodoxes, laissant le peuple béninois et tout le royaume de Savalou dans la stupeur accompagnée d’une vive douleur, Feu Dada Tossoh Gbaguidi XIII, continu d’être pleuré par les siens. Ceux qui lui témoignaient un amour franc et honnête, ceux qui se retrouvaient dans ses multiples actions de développement et qui épousaient ses idées continuent de ressentir les douleurs d’une séparation brusque et inattendue. C’est le cas de Mme Juliette Gbaguidi Gbéti, digne fille de Savalou, grande défenseur des acquis et du développement du Royaume de Dada Soha, qui se rappelle encore comme si c’était hier, cette disparition du roi le plus travailleur de tout le Bénin. Elle a initié une grande cérémonie d’hommage en l’honneur de sa mémoire et de toutes ses nombreuses réalisations pour l’essor de Savalou.  Nous nous sommes rapprochés d’elle et voici ce qu’elle nous dit d’une telle cérémonie.

Nos lecteurs voudraient vous connaitre davantage ?

On m’appelle Juliette Gbaguidi épouse Gbéti, Présidente de l’Association Enfants Mahi du Bénin.

Avec votre Association, vous célébrez sa Majesté Dada Tossoh Gbaguidi XIII ?

Il le faut, parce que Dada Tossoh Gbaguidi XIII, était un roi remarquable, un battant, un roi esthétique que moi j’adore. C’est un vrai roi qui aimait tous ses enfants, tous les enfants de Savalou son royaume, les enfants du Bénin et de toute l’Afrique. Nous partagions les mêmes visions pour Savalou, ce roi et moi. Malheureusement, il est parti. C’est pour cette raison, que coûte que coûte, nous qui l’aimions, nous les enfants de l’Afrique, du Bénin et de Savalou, nous qui l’avons côtoyés, avons décidé avec le cœur chargé de regrets, de chagrins et de blessures de lui rendre, malgré tout un vibrant hommage.

Alors cette cérémonie d’hommage va se dérouler où et quand ?

C’est une manifestation prévue pour le dimanche 26 juillet 2015, dans la grande salle du Hall des Arts, loisirs et sports de Cotonou.

Est-ce que d’autres enfants du peuple Mahi ont mis la main à la pate ou bien vous êtes seule avec votre Association à honorer la mémoire de l’illustre disparu ?

Même si je suis seule entrain d’organiser cette cérémonie, je le fais au nom de tous les enfants Mahi. Je dois vous dire que le ministre Benoît Assouan Dègla et beaucoup d’autres autorités ressortissants de Savalou, ont épousé mes idées et sont entrain d’apporter leurs pierres à l’édifice, afin que notre roi soit honoré à jamais.

Pourquoi avoir décidé d’honorer le roi ici à Cotonou et non dans son royaume ?

Je le fais ici à Cotonou, parce que Tossoh Gbaguidi XIII était un roi fair-play. Un roi qui avait son palais privé ici au quartier Agla, et qui était comme le palais royal de Savalou transporté à Cotonou. Donc que cela soit fait ici ou au village, l’essentiel est que sa mémoire soit honorée.

Un roi comme lui, un combattant, un roi qui ne se reposait pas et qui ne pensait que le développement du Bénin, de Savalou et de l’Afrique, qu’est-ce que ses réalisations vous faisaient vous en tant que native de Savalou ?

Ce roi, je l’ai surtout aimé pour ça. Sa combativité, sa volonté et son dévouement pour le développement d’abord de toute l’Afrique, du Bénin et de notre village Savalou. Je le disais, c’est un roi battant dont je suis totalement fière, parce qu’il avait du goût, il adorait et aimait ce qui est beau pour son village et j’ai la même vision pour Savalou. Donc on s’entendait sur ce point. Tossoh Gbaguidi XIII, je l’admirais beaucoup et j’ai du respect pour lui.

Etant vous aussi, une digne fille de Savalou, une femme battante qui fait beaucoup pour votre village, le Bénin, l’Afrique et leurs enfants, pensez-vous que Savalou aura encore un roi comme Dada Tossoh  Gbaguidi XIII ?

Savalou aura encore la chance d’avoir un roi comme lui, parce que celui qui est là, c’est mon frère, je compte sur lui et je sais qu’à travers lui Dada Tossoh fera tout ce qu’il n’a pas pu faire avant de partir. J’ai entièrement confiance en mon Dieu et je sais qu’il n’oubliera jamais mon village. Il est là et il n’abandonnera jamais Savalou, il aidera Gbaguidi XIV qui est là afin qu’il accomplisse l’œuvre que Dada Tossoh lui a laissée. Il le fera avec lui partout et en tout, il sera avec lui en esprit, il le soutiendra et l’inspirera en tout. Il n’est plus là mais moi j’ai confiance qu’il est toujours parmi nous et il aidera son frère qui a pris le trône de faire comme lui.
Mme Juliette Gbaguidi Epse Gbéti, PDG Beauté Ronde et initiatrice de la cérémonie d'hommage

























Parlez-nous de l’Association les Enfants Mahi du Bénin, d’où l’idée d’une telle association vous est-elle venue ?

Cette Association a vu le jour dans les années 90, bien avant 1997 à Paris. C’est une association qui se bat pour les enfants Mahi, les enfants du Bénin et de l’Afrique qui en France sont en situations difficiles. Ceux qui n’avaient pas de papiers, ceux qui étaient en situations illégales, l’Association Enfants Mahi du Bénin (AEM) se battait pour eux. Elle vient en aide aux enfants démunis, de l’Afrique, du Bénin et de Savalou, elle aide les adolescents et jeunes sans emplois et qui cherchent du travail en France. Les orphelins, les jeunes filles et jeunes gens qui n’ont pas les moyens pour leur scolarisation, ne sont pas oubliés. Voilà brièvement l’AEM. Dada Tossoh Gbaguidi XIII était l’un des artisans de notre installation ici. Donc son départ a plongé l’Association dans le deuil et c’est pour nous une occasion de faire le deuil maintenant.

A combien peut-on estimer aujourd’hui les adhérents d’une telle association ?

Nous sommes très nombreux. Si on se réfère à l’Association à Paris, nous sommes en partenariat et nous travaillons avec l’Association Apologie, une association de jeunes étudiants qui sont à l’université d’Orsay dans le 91. Chez nous, on ne prend pas en compte les clivages de couleurs de peau, de religion, d’origine. L’association Enfants Mahi du Bénin, juste parce que si l’enfant nait il faut lui donner un nom. Ce n’est donc qu’un nom, mais l’association Enfants Mahi du Bénin, n’appartient pas seulement aux ressortissants de Savalou et de la région Mahi, vous pouvez être ivoiriens, canadiens, camerounais, français, il y a toutes les races et toutes les origines dans l’association en France comme ici.

Revenons à la cérémonie d’hommage à Feu Dada Tossoh Gbaguidi XIII, qui sont ceux qui ont réellement contribué à l’initiative ?

Je le disais, le ministre Benoît Dègla en est le président d’honneur et tous les hauts cadres ressortissants de Savalou nous accompagnent.

Quand on connait bien le roi Tossoh Gbaguidi XIII, on sait qu’il aime l’ambiance, qu’il est un fair-play et qu’il adore la musique de chez lui, alors est-ce qu’il y aura le bon Tchingounmè de Savalou ?

Oui il aime vraiment le Tchingounmè, il adorait Gbétchéou et Gbétchéou aussi l’adorait. Donc Gbétchéou viendra de Savalou pour l’honorer ; il y aura le Toba Hanyé aussi avec le groupe folklorique des Enfants Mahi, j’en ai aussi parlé à Gbèzé, il se pourrait qu’il vienne. Nous allons célébrer sa mémoire et lui dire d’aller en paix, jouir du repos éternel et de la vie de là-bas avec ces ancêtres.

Un message à l’endroit des autorités béninoises en général, ceux qui ne sont pas de Savalou, mais qui ont aimé le roi Tossoh et ses multiples actions, et qui aimeraient contribuer à la cérémonie ?

J’implore toutes les autorités qui ont connu ce roi et qui l’ont aimé, qui ont vu comment il se battait pour le développement, je les invite à vraiment venir me soutenir, pour qu’on puisse ensemble réellement boucher les trous de la jarre trouée.


Propos recueillis pour l’Informateur par Patrick Hervé YOBODE




mercredi 15 juillet 2015

Décoration des acteurs de la presse culturelle

Laudamus Sègbo distingue plusieurs journalistes culturels samedi prochain

Reconnaitre les mérites des professionnels des Médias qui ont pris faits et causes pour la Culture, et qui s’échinent pour contribuer à sa promotion et celle de ces acteurs. Voilà l’ambition combien noble, d’un artiste multidimensionnel, un homme de vision qui sait apprécier l’effort fourni par autrui. Laudamus Sègbo innove et retient plus que jamais l’attention de tous. Il distinguera une trentaine de journalistes et personnalités ayant marqué le monde des Médias. L’événement a lieu ce samedi 18 juillet 2015, au cours d’un dîner de gala. Tout ceci sur fond de très bonne ambiance.
Laudamus expliquant l'une de ses oeuvres

Juste après la conférence de presse annonciatrice de cette bonne nouvelle, pour les journalistes culturels, l’artiste plasticien, scénographe et performeur béninois Laudamus Sègbo et son staff se sont mis à l’ouvrage. Sur la trentaine de nominés, une bonne partie a été retenue pour recevoir, qui une toile selon, son mérite, son dévouement pour la cause de la Culture, son activisme et le professionnalisme mis dans la production de ses articles. Tous ceci concourront pour montrer le mérite de ceux là qui seront sélectionnés. Ils partiront avec le ‘’Trophée La Plume Dorée’’, en plus de la toile. Ces derniers seront au nombre de dix (10) et verront ce samedi leurs efforts couronnés. Une idée originale de Laudamus Sègbo, artiste plasticien, scénographe et performeur béninois, qui sort de l’ordinaire et qui laisse même certains acteurs culturels et certains journalistes pantois.
Laudamus Sègbo, un homme de Vision

Il tiendra ce pari, combien lourd mais novateur sous le couvert de sa nouvelle trouvaille, l’Agence de Communication Afrik’Art. Une structure de taille, née pour bouleverser l’ordre des choses établies dans le monde de la communication, des Médias et de la Culture. Ses premiers pas, s’annoncent être des pas de géant, et qui feront tâche d’huile dans l’histoire de la Culture et du Showbiz au Bénin. L’homme ne dort pas, il passe tout son temps à cogiter pour proposer des activités axées sur la  promotion et la valorisation de la culture, les arts et les acteurs qui chaque jour donne le meilleur d’eux-mêmes. Il est à retenir que Laudamus Sègbo entend révolutionner la promotion du secteur culturel, il veut amener les béninois en particulier et les africains en général, à la réalité d’un domaine qui à lui seul peut asseoir le développement de tout pays. Il veut combattre l’illettrisme et l’analphabétisme culturel.

Les artistes, Jospinto, Nilla, Avodéma, Hos’Ella et Sisco Dan’Son seront là pour agrémenter la soirée. Vivement que d’autres acteurs culturels, qui ont tout le temps profité du savoir faire et de l’abnégation des professionnels des Médias spécialistes des questions culturelles, emboitent les pas à Laudamus Sègbo, pour plus de visibilité à notre Culture et pour que le Bénin serve encore d’exemple.


Patrick Hervé YOBODE

Formation des décorateurs et accessoiristes pour le théâtre, le Cinéma et la télévision

Une trentaine d’artistes à l’école de Grégoire Noudéhou et consorts

Le siège de la Fédération des associations professionnelles des plasticiens et graphistes du Bénin (Faplag-Bénin), abrite depuis le mardi, un atelier de formation. Plusieurs dizaines d’artistes ont été retenus pour acquérir des connaissances en matière de décoration et d’accessoires pour le théâtre, le cinéma et la télévision. C’est sur l’initiative de l’Association des artistes plasticiens du Bénin (Apb).
Philippe Abayi, Président de la Faplag-Bénin et l'un des formateur
Du 14 au 16 juillet, 25 artistes du monde des arts plastiques se retrouvent au siège de leur fédération, la Faplag-Bénin. Ils sont au cœur d’un atelier de formation des décorateurs et accessoiristes pour le théâtre, le cinéma et la télévision. Une initiative de l’Association des artistes plasticiens du Bénin (Apb), qui a reçu l’assentiment des administrateurs du Fonds d’aide à la culture, à travers son financement. La cérémonie officielle de lancement de ladite formation s’était tenue hier mercredi. A cette occasion, Philippe Abayi, président de la Faplag-Bénin, membre de l’Apb et l’un des formateurs, s’est réjouis du fait que le siège de la fédération qu’il dirige abrite cette formation. Pour lui, l’Association des artistes plasticiens du Bénin (Apb), par cette formation, comble un vide. « Il manque de décorateurs de théâtre, de cinéma et de télévision, au Bénin, c’était Joseph Kpobly, qui assurait cette charge lui seul, qui formait les artistes qui avaient la passion et qui seul couvrait la sous région », confie-t-il. Il faudra alors pour les stagiaires de se montrer intéresser. C’est pour cette raison ; qu’il renchérit en disant : « le Bénin compte plusieurs réalisateurs, l’Isma en forme un bon nombre chaque année et il y en a aussi dans l’informel. Ce qui crée un grand vide et qui fait que ces derniers manquent de décorateurs et d’accessoiristes qui maîtrisent leur domaine. C’est pour cela que j’invite les stagiaires à la discipline, à l’assiduité et surtout à la curiosité pour obtenir le maximum en peu de temps ».

Ces artistes retenus, recevront donc une formation assez dense et axée sur le décorateur et l’accessoiriste créateur et communicateur d’émotions. Un domaine qui exige un travail très pointu et très complexe, nécessitant de l’artiste la créativité à tout moment. Rappelons que ces artistes ont été sélectionnés, à la suite d’un appel à candidature et selon un critère, qui voudrait que ces personnes soient des gens qui avaient déjà une notion de la réalité. Ils auront tout pour devenir de bons décorateurs et accessoiristes, car ils sont à l’école de Grégoire Noudéhou, élève et très proche collaborateurs de feu Joseph Kpobly, qui a pris le relais à sa mort. Philippe Abayi et Hervé Alladayè seront également de la partie pour partager leurs connaissances et expériences avec les stagiaires.

Importance artistique et technique du décor dans un film ; les contraintes techniques liées à la réalisation d’un décor de film ; disposition pratiques à prendre dans la recherche des décors appropriés avant le tournage des films ; définition, importance des accessoires dans la construction d’un décor et jeux d’acteurs, sont entre autres des grandes lignes de cet atelier de formation. Signalons que cette formation prendra fin ce jour à l’issue d’une évaluation et d’une projection de films suivi d’échanges.


Patrick Hervé YOBODE

jeudi 2 juillet 2015

Commémoration d’une icône de la musique béninoise

Pap-Cuiz Production de Rigobert Ahinadjè célèbre les plus de 20 ans de Jospinto

(Les béninois doivent accompagner cette structure afin que Jospinto soit honorer de son vivant)

Il est un artiste incontournable sur la scène musicale du Bénin. Avec une carrière débutée en trombe et qui ne cessait de connaitre des succès, il aura marqué ce monde musical et plus particulièrement la musique Salsa et quelques rythmes du terroir comme la musique traditionnelle des couvents Egungun, Oro et Guèlèdè. Florent José Atoyèbi Alapini, qui n’est plus à présenter vient de passer plus de vingt (20) ans de carrière. Une actualité que la maison de production, Pap-Cuiz Prod de l’autre ogre de la musique et du showbiz béninois, Rigobert Ahinadjè, manager d’artistes, a décidé de célébrer. Mettre de la lumière sur l’homme, ses œuvres, sa vie et son répertoire, à travers un projet dénommé ‘’Jospinto 20 ans après’’. Voilà qui résume bien la commémoration, dont Pap-Cuiz Prod, s’est chargé de peaufiner les moindres détailles, pour que Cotonou et quelques grandes villes du Bénin, s’imprègnent de la grandeur de cet artiste.

Soutenez l'événement en composant les (00229) 95 00 25 24/96 37 80 48/98 39 38 27

‘’Jospinto 20 ans après’’, c’est tout un programme, qui au fil du temps et très incessamment vous sera détaillé, par Rigobert Ahinadjè et son staff. Un événement qui se veut d’une envergure internationale, vu que Jospinto depuis quelques années, est sociétaire du groupe panafricain de la Salsa, Africando en lieu et place du Maestro Gnonnas Pédro. Pour l’heure, c’est le mois d’Août 2015, qui est entrain d’être retenu, pour marquer d’une pierre blanche les plus de 20 ans de Jospinto. A l’étape où les choses en sont, Rigobert Ahinadjè, est à la recherche du financement pour la réussite d’un cet événement de portée historique et culturelle avérées. Donc avis à tous ceux qui sont férus de la Salsa de Jospinto, tous ceux qui aiment cet artiste et surtout les grosses sociétés privées ou d’Etat, qui doivent apporter leurs grains de sel afin que Jospinto, lui au moins soit célébré avant sa mort. Le comité d’organisation emmené par cet homme de culture, Rigobert Ahinadjè est à pieds d’œuvre pour que force reste à la musique et à la commémoration des plus de 20 ans de Jospinto. Il faut aussi rappeler que plusieurs villes sont retenues, telles que : Parakou, Savalou, Dassa, Bohicon, Lokossa, Porto-Novo, Cotonou. Donc si vous êtes intéressés, vous pouvez même sponsoriser, parrainer ou être le partenaire de cette manifestation culturelle d’envergure, dans votre localité.

Prenez le rendez-vous et surtout contribuez à la visibilité de la célébration des plus de 20 ans de Jospinto, pour l’honorer de son vivant.

Patrick Hervé YOBODE

Jospinto en bref

Très tôt tiré par une  envie folle vers la musique, parce qu’issu d’une famille héritière d’un patrimoine culturel riche et diversifié, il fit ses débuts dans plusieurs chorales. Membre actif de plusieurs orchestres au Bénin et dans la sous-région dans les années 80 et 90, dont ortho Allégro de Porto-Novo, les vénus stars, les sympathics, les shanu olu, les Equinoxes, Supers Audivi de L’ORTB, les Kon’kad du Bénin, le Mebi Band et les Poussiquettes du Niger, il construit une carrière hors du commun.

Découvert par le grand public en 1993 à travers ‘’Révélations93’’ compétition musicale du ministère béninois en charge de la culture, comme talent ineffable de la musique, Jospinto a raflé un nombre incalculable de prix et de distinction dont entre autres : le Prix dan Gourma (Niger), le prix FAC-OPT(Bénin), Lauréat Révélation93, Prix  African Music Awards (Lomé Togo), Prix meilleur album  de l’année au Bénin Golden Awards (BGA), Prix meilleur album masculin (TAM-TAM), Disque d’or de la meilleure vente Bureau béninois des droits d’auteur (BUBEDRA) en 2002 etc. et plusieurs tournées nationales et internationales. Entrepreneur culturel imbibé dans sa culture, il attache du prix à la promotion et à la revalorisation de la music endogène bénino-nigériane. Conscient de cette ambition qu’il s’est donnée, Jospinto a consacré sur chacun de ses albums, une place importante à la musique traditionnelle des couvents Egungun, Oro et Guèlèdè. Avec cinq (05) opus qui mélangent une variété musicale incommensurable et qui continuent de faire danser les férus de la bonne musique aussi bien au Bénin qu’en Afrique, le 1er organisateur de la fédération des Musiciens du Bénin(FMB) est l’initiateur du concept Ibilé.

C’est un concept qui appel à un retour à la source de l’endogène pour la promotion et la revalorisation du riche patrimoine culturel des peuples yorouba-Nago du Bénin et du Nigeria. Ce concept a fait naître le groupe Ibilé Music Band International(IMBI) dont Jospinto est le fondateur. Leur objectif commun est de pouvoir faire connaître ce patrimoine musical de l’aire culturelle yorouba-Nago à travers le monde.
Actuellement, Jospinto sociétaire du célèbre groupe panafricain


Africando en substitut du Maestro Gnonnas Pedro  à sortie en 2013  deux albums dont l’un est consacre au concept Ibilè et l’autre a la musique afro-cubaine.   

Petite finale de CONAVAB Inter 2015

La Bénédiction, 5ème artiste qualifié pour les huitièmes de finale

Déjà 5 artistes qualifiés pour les huitièmes de finale, de la plus grande compétition artistique annuelle, du Bénin. La Coupe nationale du vainqueur des artistes du Bénin CONAVAB Inter 2015, continue d’égayer les béninois sur les antennes des radios partenaires et sur celles de la radio centrale, Ado FM. Le lundi 29 juin dernier, le groupe E du département du Zou, entrait en lice. Quatre artistes se disputaient la place qualificative de cette poule en huitièmes de finale. Ils étaient Djikpé, Zokpé, Gangnonssè Sèssougni et la Bénédiction. Les deux premiers s’affrontaient le lundi et les auditeurs avaient préféré dans leur grande majorité, Zokpé qui partait attendre en petite finale son challenger avec un score de 199 point contre 072 pour Djikpé. Le challenger de Zokpé devrait être connu le mardi à l’issue de la rencontre qui opposait et la Bénédiction. Un match vite plié par l’artiste La Bénédiction, qui n’a fait aucun cadeau à son vis-à-vis. Gangnonssè Sèssougni a été étrillé par le score sans appel de 228 votants contre seulement 48. En petite finale du groupe, Zokpé n’a pas fait le poids devant la Bénédiction. Là encore La Bénédiction a littéralement broyé Zokpé pour se hisser en huitièmes de finale. C’est le score de 173 point contre 098 qui sanctionna cette rencontre. Rappelons que la poule F du même département est entrée en lice hier jeudi et que la première rencontre a vu la victoire d’Akokpon devant Alèhomè sur le score de 145 points contre 074.


Patrick Hervé YOBODE

mercredi 1 juillet 2015

Auguste Amoussou à propos de l’émission télé ‘’Afrik’Art

‘’Afrik’Art, l’émission qui démontrera l’Afrique dans sa beauté, l’art dans sa plénitude et le Bénin dans sa diversité culturelle’’

Donner de la visibilité à l’art béninois et africain et à la culture en général, permettre aux acteurs culturels d’être reconnus par la plus grande majorité, faire de la culture et des arts, le socle réel du développement des pays africains, lutter contre l’analphabétisme et l’illettrisme culturel, aller à la rencontre des gens qui font bouger le monde culturel, donner un autre visage à la promotion de la culture et des arts, amener le commun des mortels à prendre conscience du travail colossal qu’abattent les artistes plasticiens, afin que la valeur de leurs œuvres soit bien cernée. Voilà autant de raisons qui ont motivé, l’Agence Afrik’Art Communication a initié, l’émission Afrik’Art pour montrer simplement un autre visage du Bénin et de l’Afrique. Auguste Amoussou, l’animateur principal nous en parle.

Certes tu n’es plus à présenter dans le monde du showbiz, mais tu vas devoir reprendre cet exercice pour nos lecteurs ?

Ok merci, moi je suis Auguste Amoussou, j’ai un très long parcours. J’ai été cadreur, monteur, infographe, photographe, photojournaliste, réalisateur, promoteur, manager d’artistes. Je suis actuellement directeur de développement de Média Production, je suis aussi l’animateur principal d’une nouvelle émission Afrik’Art. J’ai fait la radio, la télé, bref j’ai fait beaucoup de choses, le parcours est un peu long. Au sein d’Afrik’Art Com, je suis le directeur général adjoint chargé du markéting et du développement de l’émission dont je parlais tantôt.
Auguste Amoussou, l'animateur principal de l'émission

Justement dans le sillage de tes compétences et en vue de donner un autre visage à la promotion de la culture, Afrik’Art Communication a initié, l’émission que tu venais d’évoquer, alors pourquoi cette émission ?

Pour nous après certaines analyses, nous avons remarqué que tout s’en va, mais seule la culture reste. Et comme le dirait l’autre, un peuple sans culture est un peuple qui n’exist pas du tout. Et c’est par la culture que la Chine est aujourd’hui, ce qu’elle est, c’est la culture qui lui donne les ressources qui font d’elle, une puissance si je ne dois pas dire la première puissance dans le monde. La Chine a tôt fait de miser sur sa culture à travers les tissus, les arts, les danses, ses sites touristiques et autres, pour ensuite commencer par dompter le monde entier. Plusieurs peuples comme l’Afrique du Sud ou le Sénégal ont compris en misant sur la culture soit à travers les arts, la musique et autres composantes pour s’imposer. Afrik’Art, cette émission d’abord c’est pour le Bénin et du Bénin, ça s’étendra vers les pays africains, pour s’ouvrir par la suite au monde. C’est une émission qui a pour le moment un format d’une heure (60) minutes où (3600) secondes qui se chargera de faire la promotion de l’art et du patrimoine matériel et immatériel de notre culture. Je le disais la dernière fois, Afrik’Art, c’est démontrer l’Afrique dans sa beauté, l’art dans sa plénitude et le Bénin dans sa diversité culturelle. Et pour cela le potentiel existe. C’est de montrer une autre image de l’Afrique. Prendre exemple sur ce qui existe déjà, les modifier, les corriger pour y ajouter notre touche spéciale. Ce qui fera de cette émission, une émission carrément à part. C’est une émission qui se veut être le porte-parole des artistes toutes catégories confondues, afin que la culture et l’art africain, prennent une place de choix sur l’échiquier culturel mondial.

Afrik’Art en 60 minutes, c’est tout un programme, des séquences données, décrypte-nous un peu cette émission dans sa structuration ?

L’émission Afrik’Art se subdivise en 4 rubriques et nous pensons y ajouter une séquence d’humour juste pour permettre aux téléspectateurs d’avoir le sourire en quittant l’émission. En ce qui concerne les rubriques, nous avons celle qui s’intitule ‘’Atelier’’ ; c’est la rubrique de l’émission qui parlera des créateurs. Elle se déplacera pour aller vers ceux-là, histoire de savoir, les conditions dans lesquelles, ils travaillent. Les difficultés liées à leur art, les faire découvrir. ‘’Carte Postale’’ la seconde rubrique montrera le Bénin dans toute sa splendeur. Elle aborde le patrimoine matériel et immatériel, les places publiques, les sites touristiques, etc. Montrer que le Bénin est une destination sure. Faire découvrir ces sites touristiques pour mieux placer le Bénin au cœur du tourisme mondial. Parce que des sites touristiques, le Bénin en regorge, mais c’est juste que nous les négligeons. Nous avons une autre rubrique ‘’Derrière le rideau’’ qui fait une  particularité de cette émission. Elle ira à la rencontre des acteurs culturels, les artistes, les journalistes et autres afin d’aller savoir ce qu’ils endurent au quotidien dans leur métier avant que le public n’ait le produit fini de leur labeur. C’est une rubrique qui donnera de la visibilité aux stars et faiseurs de stars, qui sortira de l’ombre les gens comme les réalisateurs, les producteurs et autres. La dernière rubrique qui fait le clou de l’émission, est dénommée ‘’Un homme une histoire’’. Elle sera co-animée par Auguste Amoussou et Yannick d’Almeida. Un choc en permanence, car il s’agira de poser des questions pièges à l’invité pour lui tirer les vers du nez. Provoquer la personne pour l’amener à dire ce qu’il ne voudrait pas. Une rubrique sans tabou qui abordera toutes les facettes de la vie de l’invité.
Auguste Amoussou en plein dans l'émission

Quand est-ce que les téléspectateurs pourront s’attendre à cette émission dans leurs petits écrans ?

Pour bientôt, car ce ne seront pas des émissions qui seront tournées, mais des mises en boite qui existaient déjà, c’est-à-dire des émissions déjà tournées qui existent et qui sont prêtes à être diffusées. Nous préférons le suspens car nous sommes encore en négociation avec les télévisions. L’autre chose, c’est que nous sommes entrain de prendre contact avec beaucoup de gens pour que l’émission puisse durer dans le temps. Ceci parce que chaque rubrique sera vendue. Donc voilà un peu de façon globale, ce qui va se passer.

Et quelles sont ces chaînes de télévisions retenues pour la diffusion de cette émission de référence ?

Plusieurs chaînes de télévisions ont été choisies, parce que nous voudrions que ce soit une émission bien suivie. Alors Canal 3, Ortb, Sikka Tv, BB 24, mais les négociations se poursuivent et nous avons l’intention d’aller à l’internationale, pour cela des contacts ont été pris avec Maïsha Tv, avec une chaîne togolaise et autres. Nous allons aussi vers plusieurs pays africains, car le fait d’avoir des correspondants dans plusieurs pays, nous devons être obligés d’aller dans ces pays pour tourner l’émission et la diffuser.

Qu’est-ce qu’il y a de nouveau sur cette émission pour intéresser les téléspectateurs ?

Ecoutez, Afrik’Art est une émission originale et qui sort de l’ordinaire. C’est la rupture avec ce qui se faisait, une autre manière de présenter, de tourner une émission. Si une émission est bien tournée, avec des mises en scènes, des accoutrements adéquats, des gestuels, de l’humour tout ceci dans une ambiance totalement décomplexée et très relaxe, cela intéresse forcément. Nous voudrions faire de ce rendez-vous un rendez-vous obligatoire, ce ne sera pas du déjà vu. Ce lui qui a suivi le premier numéro suivra toutes celles qui suivront. Nous seront très original et très inédits.

Parles-nous brièvement de l’Agence Afrik’Art Com qui a créé cette émission ?

Afrik’Art Com est une Agence qui est venue d’un promoteur, d’un connaisseur de l’art, un réalisateur qui est à plus de 500 clips réalisé. Laudamus Sègbo, celui-là même à qui je dois un remerciement incontestable, car il maîtrise son sujet et sait ce qu’il veut. Il est resté à mes trousses pendant des années et j’ai toujours décliné l’offre, mais il est parvenu à me convaincre. Une Agence qui sera présente dans beaucoup de choses,  présente en Afrique et dans le monde, car c’est la somme de plusieurs personnes ayant acquis l’expérience dans le secteur qui se sont mises ensemble pour aller très loin. Afrik‘Art Com c’est une autre manière de communiquer.

Des personnes à remercier ?

Oui effectivement, je remercierai ces hommes et femmes qui m’ont fait. Il s’agit de l’Expert en musique Eric Gbèha, Steve Facia, Laurette Bonou, que je remercie spécialement, une dame de fer qui a pris une part active dans ce que je suis devenu aujourd’hui ; un big merci à elle, ma famille, mon père et ma mère, tous ceux que j’ai offensé je leur présente mes excuses.

Un mot de fin ?
Toutes mes gratitudes aux hommes de presse, pour tout ce qu’ils font. Merci à tous ceux qui prient et qui ont une pensée positive envers ce que nous voulons faire. Ceux qui seront contre je les appelle humblement, qu’ils viennent avec leurs propositions afin que l’émission grandisse et que le Bénin en sorte grandit. Un grand merci à Dieu qui nous inspire et qui nous donne toujours la santé pour aller de l’avant. Merci à tout le monde.


Propos recueillis par Patrick Hervé YOBODE