mardi 29 mai 2018

Entretien avec Virgile D. Abadagan Promoteur de Miss G d’Afrique

« Cette 7ème édition verra la participation des candidates venant de partout en Afrique et se tiendra à Cotonou »


Depuis près d’une dizaine d’années, il se peine pour la tenue d’un événement qui pourtant devrait systématiquement mobiliser sponsors et dirigeants pour sa tenue et sa réussite. L’élection Miss Ganzin devenue Miss G d’Afrique est une initiative de Virgile D. Abadagan qui célèbre la vraie beauté de la femme dans tous ces contours. La beauté, l’intelligence, le bagage intellectuel, la maîtrise de la langue maternelle, de la danse de sa région et de son panégyrique, tout ceci ponctué par le savoir faire dans l’art culinaire et spécialement des mets africains. Avant l’envol de la 7ème édition nous sommes allés à sa rencontre et voici ce qu’il nous a confié. Lisez plutôt.


Présentez-vous à nos lecteurs ?




Je suis Virgile Vigharo Le Guerrier de la Culture Africaine Le promoteur du festival Panafricain qui élit la Reine des G d’Afrique Miss G  (autrefois Miss Ganzin). A l’état civil je réponds au nom de Virgile D. Abadagan. Je suis Technicien en informatique audiovisuel et Réalisateur. J’avais travaillé sur une des grandes chaînes de Télévisions privées au Bénin. Actuellement je suis toujours dans les médias mais à mon propre compte.



Vous tenez un événement culturel depuis bientôt 10 ans, de quoi s'agit-il ?



Miss G est un concours panafricain de beauté comme une élection Miss. Mais L’originalité de  Miss G  est l’élection de la plus belle jeune fille ayant la beauté naturelle, l’intelligence, la maitrise de la langue maternelle, son Panégyrique et tout ceci confronté à la fatidique épreuve de l’art culinaire de privilège les mets africains. Elle doit également exécuter une danse de sa région. 



Parlant de l’intelligence et de langue maternelle, les questions sont posées en langue du colon (français ou anglais par  exemple comme langue du travail selon le pays) et la candidate répond dans sa langue maternelle ; ceci pour voir si nos jeunes sœurs arrivent à faire une relation entre les deux langues.



Ainsi donc nous accompagnons l’Etat dans la promotion des langues maternelles et aussi dans sa lutte contre le phénomène Vidomingon c'est-à-dire enfant placé



Quel a donc été le parcourt des Miss G ?



Comme toute initiative le début est toujours difficile. La sélection des candidates se faisait par département du Bénin et la finale c’est-à-dire la nuit des G d’Afrique a lieu à Cotonou au Hall des arts. Mais je profite de l’occasion pour remercier tous les collègues des médias publics comme privés qui m’ont soutenu jusqu’à l’heure ou nous parlons. 



C’est cela qui a hissé très haut Miss G. A voir l’envergure d’un tel événement le soutien aurait été énorme et comme nous sommes au Bénin tu le sais il faut voir la tête du promoteur ou bon. Je remercie quand même ceux qui nous viennent en aide toutes les éditions et surtout la grande foule qui se déplace pour y assister. Merci également à toutes ces mamans  pour les encouragements.



Aujourd'hui cet événement se fait appeler Miss G d’Afrique, est-ce à dire que vous l'avez panafricanisé ?



Exactement. La Reine des G d’Afrique car l’événement gagne en estime et a pris une grande ampleur. Nous avons eu à organiser deux Edition déjà à Lomé au Togo. Actuellement les inscriptions son en cours pour le Ghana, la Cote d’Ivoire et le Burkina Faso. 


Parlez nous de l'édition en cours ?



Cette 7ème édition verra la participation des candidates venant de partout en Afrique et se tiendra à Cotonou. Le programme est très riche et dense. Nous ne devons pas imiter les blancs en toute chose. D’ailleurs les grandes femmes intellectuelles de ce pays ont compris, vous avez vu une femme leader en politique a choisi la marmite au feu comme logo, ce n’est pas pour rien.



Quelles sont les innovations apportées à un événement qui a tant motivé d'autres à vous emboiter les pas ?



Oui à chaque édition il y a toujours d’innovations. Vous le savez bien Mr YOBODE qu’il est de notre coutume en Afrique en générale et au Bénin en particulier qu’une jeune fille doit être initiée à la cuisine par nos mamans au foyer. Cette pratique semble être ignorée. 



De ce fait le public aura droit à deux éditions cette année : la MISS G (Jeune Fille de 17 à 25 ans) et MIMI G (Fille de 9 à 14 ans) Trophées G (Miss G) est un creuset pour valoriser et promouvoir les mets et produits locaux afin que le slogan Consommons local devienne une réalité.



Trophées G (Miss G) est un véritable maillon de développement de l’activité touristique.



Est-ce que tout est fin prêt pour que le public vive une édition à la hauteur de celles déjà rangées dans les annales de la culture béninoise ?



Je crois bien les organisateurs de ce prestigieux événement ont mis les petits plats dans les grands afin d’offrir  au public une très belle soirée des G d’Afrique. Nous allons célébrer la beauté de l’Afrique dans sa vraie valeur.



Un mot de fin ?



Les trophées G n’ont pas pour ambition de substituer à telle ou telle élection Miss. L’idée est originale. Elle est initiée pour encourager les jeunes filles béninoises voir africaines à aller à la source. Toutes nos actions doivent être en harmonie avec notre culture afin de permettre véritablement le développement de l’Afrique.



C’est pour cela que nous voulons lancer notre cris pour qu’en s’élevant par-dessus les murs de la jalousie, de l’orgueil et de l’intolérance, il parvienne jusqu’à tous les gouvernants, les religieux, les leaders et sponsors de la culture afin qu’ils soutiennent cette belle initiative. Car quelque soit la religion, la foi et la culture se doivent une relation intrinsèque.



Propos recueillis par Patrick Hervé YOBODE

jeudi 24 mai 2018

FICHIER NATIONAL INFORMATISÉ DES TRADITIONNALISTES DU BENIN


Le Synamitraab poursuit sa mobilisation générale


Sa Majesté Agassa Adanyro Guèdèhounguè, Président de la Communauté Nationale du Culte Vodoun au Bénin (CNCVB), a reçu la visite du Vénérable Dansou Gazozo et une forte délégation. Face aux dérives observées ces derniers temps avec à la clef les crimes rituels, il était urgent pour les associations et organisations de traditionnalistes, les vrais garants de prendre les taureaux par les cornes pour trouver des moyens d’assainir le milieu. Et pendant que d’autres se réunissent pour du leurre, le Syndicat National des Médecins Intellectuels, Traditionnels et Assimilés du Bénin (SyNaMITraAB), a jugé bon de multiplier les contacts, de tenir des séances de d’information et de mobilisation pour que le Fichier national informatisé des traditionnalistes soit une réalité. Toutes choses qui freineraient les ardeurs des faux traditionnalistes qui ne rendent pas service à notre pays. C’était le jeudi 17 mai 2018 à Sahouè-Doutou.

Le Syndicat National des Médecins Intellectuels, Traditionnels et Assimilés du Bénin (SyNaMITraAB) s'est véritablement résolu depuis l'avènement du gouvernement du nouveau départ pour accompagner le P.A.G. Entre autre soutien. Le Recensement Général des Hounnons, Bokonons, Amawatos, adeptes et initiés par le SyNaMITraAB; est aussi un soutien de taille qu’apporte le syndicat à Son Excellence Patrice Talon Président de la République. Cette contribution aux réformes du gouvernement aura nécessairement des retombées positives sur la population. Et C'était le sujet phare des échanges que le Vénérable Alphonse Dansou Gazozo et sa suite ont eu le jeudi 17 mai 2018 avec sa Majesté Agassa Adanyro Guèdèhounguè Président de la Communauté Nationale du Culte Vodoun au Bénin (C.N.C.V.B). A cette rencontre, il a d’ailleurs été fait Président des Bureaux du Recensement Général des traditionnalistes des départements du Mono et du Couffo.
La délégation du SyNaMITrAaB avec sa Majesté Adanyro Guèdèhounguè

En prenant la parole Sa Majesté Agassa a remercié les membres du SyNaMITraAB pour leurs efforts de tous les jours sans cesse renouveler pour la promotion et la valorisation de notre culture. Avant de conclure ses propos en ces termes: «La C.N.C.V.B et le SyNaMITraAB sont tous deux, des organisations très puissantes de notre Pays. Notre soutien ensemble avec d'autres organisations sœurs pour mettre hors d'état de nuire les Honnons voyous à travers ce recensement Général mettra définitivement fin aux crimes rituels au Bénin ». Il renchérit en disant : « Notre pays sera respecté par le monde entier, ce recensement va favoriser les activités touristiques parce que les touristes se sentiront en sécurité quand ils mettront pieds sur le sol de notre pays, la base de données va permettre à la police républicaine de connaître les faux traditionnalistes pour pouvoir les maîtriser facilement parce que chaque Hounnon, Bokonon, Amawatos, etc. aura un identifiant et d'autres informations le concernant... Les avantages sont énormes ».

« Le Vénérable Alphonse Dansou Gazozo S.G du SyNaMITraAB n'a rien caché depuis qu'il à initié ce projet. Je vous rassure que ça va aller très vite dans les départemental du Mono et du Couffo que vous venez de me confier», confiait-il.

Les éclaircissements apportés par Sa Majesté Agassa ont encore galvanisé la troupe. Une prière a été adressée à l’intention du Président de la République et du peuples Béninois en direct sur la Tombe du Feu Adanyro Sossa Guèdèhounguè.

Patrick Hervé YOBODE



QUINZAINE DES TRAVAILLEURS/AGENCE AUTHENTIQUE MEDIA


Yves Dah-Gounon gagne le pari de l'implantation du premier Festival des travailleurs au Bénin.

Le Bénin a abrité du 30 Avril au 14 Mai 2018, le tout premier Festival des travailleurs. A travers la '' Quinzaine des travailleurs'', les travailleurs de tous secteurs d'activités étaient à l'honneur. Les meilleurs restaurants de la cité ont permis aux travailleurs de passer des moments de Ouf autour d’une vingtaine de spécialités, (Poulets meilleurs, étouffé de poulets, Poissons braisés, Braisé du Porc, Lapins Braisés, du bon Dakouin ...) présentent sur le  village des travailleurs majestueusement installé pour la circonstance.

Les rideaux sont tombés sur la première édition du Festival des travailleurs au Bénin. La trouvaille de Yves-Arnold Dah-Gounon, qui aura rassemblé du monde a connu sont épilogue le lundi 14 mai 2018 sur des notes de gaieté. L'accouchement a été certes pénible mais le pari a été tout de même tenu. Désormais, dans le grand livre des événements au Benin est inscrit en lettre d'or, la quinzaine des travailleurs, le tout premier festival dédié aux travailleurs de tous les secteurs d'activités.

15 jours d'aventure au menu multicolore. Grande caravane à travers la ville de Cotonou, la grande tournée du comité vers les travailleurs, le grand marché des travailleurs (Le salon Labor Day), la grande foire culinaire '' plaisir de manger'', les méga soirées animation et de reconnaissance pour ne citer que celle-là. A en croire Yves Dah-Gounon, promoteur de l'événement, du rêve, la quinzaine des travailleurs est devenue une réalité au Bénin en dépit de toutes les difficultés de mobilisation des ressources. Il clarifie : « Réussir à implanter le village des travailleurs et tenir le coup était le plus grand défi à relever. Ce qui a été fait non pas par notre force mais par l'accompagnement et la détermination de certaines bonnes volontés. Le second défi était celui de la mobilisation. A ce niveau, dame nature n'a pas facilité les choses ».
Le Village des Travailleurs en attentes des festivaliers

En effet, des pluies diluviennes se sont abattues sur Cotonou empêchant les travailleurs de rallier le village à eux installé. « La météo n'était donc pas favorable pour des soirées épiques prévues dans le chronogramme de la quinzaine des travailleurs. La mévente enregistrée par les entreprises et restaurants était la conséquence directe de ces averses », avoue-t-il. Toujours dans ses explications, Yves Dah-Gounon a laissé entendre que le cachet spécial que le comité voulait imprimer à la commémoration de la journée internationale du travail a été effectif. Les travailleurs de tous les secteurs d'activités étaient réunis dans un même creuset autour d'un seul idéal, la célébration du travail sur toutes ces formes. On peut déjà décerner un satisfecit à Yves Dah-Gounon et son staff pour avoir osé, surtout pour avoir tenu l'édition zéro afin que la quinzaine des travailleurs ait désormais une date de naissance. Le défi qui s'impose à partir de ce moment est celui de la perfection.

Une 2ème édition plus améliorée et sans faille suppose que les organisateurs se lèvent tôt pour aller à la recherche des partenaires car qui va loin, ménage sa monture.

Patrick Hervé YOBODE

dimanche 6 mai 2018

Babatoundé Nobimè peaufine l’édition qui honore les rois du royaume d'Abomey

Le mois d’Août 2018 sera particulièrement bouillonnant du côté de la Cité historique des Houégbadjavi. Et pour cause le Festival Panafricain Hwendo (Fespah) y célèbre sa 7ème édition. Pendant plus de deux semaines, les acteurs de la Tradition Endogène béninoise et africaine seront à l’honneur. Constantin Babatoundé Nobimè Délégué Général du Fespah a très tôt pris le taureau par les cornes pour une édition réussie, vue l'enjeu et les noms forts qui recevront l’hommage. Un grand rendez-vous culturel et cultuel à ne manquer sous aucun prétexte.

Les rois de la dynastie royale du Danxomè sont à l’honneur. Un digne fils du terroir qui depuis bientôt une dizaine d’années s'échine à faire contre vents et marées la promotion du patrimoine culturel endogène du Bénin, voudrait leur rendre un vibrant hommage. Du roi Dako Donou en passant son fils, le conquérant Houégbadja, Akaba, Tégbéssou… le tour des palais royaux sera fait pour honorer la mémoire de chacun de ces illustres hommes forts qui ont écrit à leurs manières l'histoire, socio économique et politique de ce pays. 
Babatoundé Constantin Nobimè, Délégué Général du Fespah

Depuis la mi-janvier 2018, Babatoundé Constantin Nobimè, n'a fait que multiplier les rencontres avec les hauts dignitaires du royaume. Plusieurs voyages déjà dans plusieurs contrées du pays pour aller dénicher les vrais acteurs traditionnels endogènes qui tissent réellement leurs cordes à celles laissées par ces patriarches. Dans un atmosphère où l'État central à cause des crimes rituels prend des mésures draconiennes contre les dignitaires sans distinction, le Fespah vient mettre un temps soit peu de la lumière sur les vrais praticiens des réalités endogènes et des Vodoun que nous ont légués nos ancêtres. Avant le 25 Août qui sera la date fatidique où près d'une cinquantaine de hauts dignitaires seront distingués avec l'Attestation du Grand Ordre du Mérite Traditionnel Africain, c'est la foire traditionnelle qui donnera le ton d'une 7ème édition dédiée entièrement aux rois du Danxomè.

Pendant deux semaines, des médecins traditionnels et artisans, surtout les vrais artisans de la grande collectivité royales Yèmadjè qui pendant dans siècles ont composé l’habillement des rois, à travers les pagnes tissés, les chapeaux royaux, les récades, etc. viendront exposer leurs produits. Pour agrémenter ces deux semaines de foire traditionnelle, les artistes de la musique traditionnelle d’Abomey seront en concert live et play-back chaque soir. Les rythmes et sons, les danses du royaume seront aussi à l’honneur. Tout ceci se déroule sur fond d’innovations majeurs apportées au Fespah par son Délégué Général Babatoundé Nobimè.

En terme d’innovations, quatre hauts dignitaires recevront la Grande Croix du Mérite Traditionnel Africain, ce qui est une grande première. Beaucoup d'autres surprises de taille constituent ces innovations, mais déjà, il serait judicieux de signaler que le Tome 1 de  l’Annuaire de la Tradition ; ce livre référence qui renseigne sur les vrais dignitaires et garants de la tradition, lancé au cours de la 5ème édition du Fespah en 2016 à Sahouè Doutou, connaîtra son Tome II. Un Tome II qui sera réalisé entièrement en couleur pour permettre aux populations d'ici et d’ailleurs et qui font recours aux acteurs traditionnels, de voir clairement le visage de celui à qui elles ont à faire.

Le Festival Panafricain Hwendo 2018, un rendez-vous culturel et cultuel festif à ne manquer sous aucun prétexte, car ça promet du beau.

Patrick Hervé YOBODE.

Quinzaine des Travailleurs 2018

La grande caravane des travailleurs donne le top

C'est officiellement lancée. La quinzaine des travailleurs est en route. La première  édition du festival des travailleurs a pris son envol ce mardi 1er mai 2018, jour consacré aux travailleurs. C'est à travers  la caravane de lancement qui a traversé la ville de Cotonou. Partis de la place de l'étoile rouge, les caravaniers sous le son de la fanfare et dans une ambiance des grands jours de fête ont emprunté respectivement les grands carrefours tels que, Agontincon, la Vie et Toyota pour chuter au stade Général Mathieu KEREKOU. 

Plusieurs associations professionnelles, plusieurs sociétés d'État et privées ainsi que de nombreux artisans ont pris activement part à cette grande caravane des travailleurs. Ils ont ardemment battu le macadam pour exprimer leur joie d'être travailleurs. Au niveau de chaque carrefour, la pression a monté et devenait presque insoutenable. Avec le soutien de la fanfare  le répertoire des chansons qui rendent hommage aux travailleurs a été exécuté dans la liesse populaire. 

En effet, la quinzaine des travailleurs est le tout premier festival dédié aux travailleurs de tous les secteurs d'activités. Cet événement d'envergure nationale initié par l'Agence Authentique Média  offre des occasions d'échange, d'affaires, de réjouissance et de reconnaissance. Le festival des travailleurs qui est une première au Bénin, vise à donner un cachet spéciale à la célébration de la journée internationale du Travail.

Selon le chronogramme dévoilé par Yves Dah-Gounon, le promoteur dudit festival, après la caravane, le comité entame une tournée. Une tournée de contact et de sensibilisation qui permettra au staff de la Quinzaine des travailleurs de toucher du doigts certaines réalités du monde des travailleurs dans leurs milieux de travail. Puis l'installation du grand village des travailleurs qui va s'animer du 7 au 14 mai 2018 sur l'esplanade intérieure du stade Général Mathieu Kérékou.

A en croire, Yves Dah-Gounon, Directeur de l'Agence Authentique Média, la quinzaine des travailleurs est aussi une affaire de la bonne bouffe. Les meilleurs restaurants de la cité vont pendant 7 jours, remuer les papilles gustatives des milliers de festivaliers qui vont prendre d'assaut les lieux. Au total 10 restaurants, 20 spécialités, 30 variétés pour des moments exceptionnels de senteurs et de saveurs. Tout ceci selon ses précisions, accompagné de la bonne bière en promo sur fond de spectacles de Ouf avec en toile de fond un méga Concert hommage à tous les travailleurs du Bénin.

La Quinzaine des travailleurs se veut être le plus grand festival des travailleurs du Bénin et de la sous- région Ouest africaine. Rendez-vous donc au village des travailleurs du 7 au 14 Mai pour des moments uniques d'hommage aux travailleurs de tous les secteurs d'activités.