Bien être des populations et protection pour la fin de l’année

Tous au Hall des arts pour s’immuniser contre les forces du mal

(Maître Bobos promet des recettes de protection et de prospérité pour la nouvelle année)

Il n’est plus un secret pour personne, qu’à la fin de chaque année, les esprits maléfiques et les ‘’Minon Nan’’ (Sorciers) prennent toutes les formes pour répandre le mal partout. Beaucoup d’entre eux sont chargés de livrer un certains nombres d’âmes à leur chef suprême, le démon avec lequel pour la plus part, ils ont pactisé. Dans cette course folle pour tenir ce pari en vue de recevoir d’autres grades, les sorciers et les forces du mal, assiègent les carrefours des grands axes routiers et occasionnent des accidents justes pour pouvoir recueillir du sang humain qu’ils livreront à leur chef. Pour ne pas être une proie facile et pour se mettre à l’abri face à ce danger permanent, il urge de chercher à se protéger.

Maître Bobos

Et qui mieux pour détenir les connaissances en matière de protection contre les forces du mal et les sorciers que les grands maîtres spirituels. Parmi eux, Maître Sylvain Adoho alias Maître Bobos, grand Maître spirituel et doté de connaissances approfondies dans le savoir ancestral, le Fâ, il est reconnu pour sa dextérité. Avec son ONG le Chandelier de la Paix, il organise la troisième édition de sa conférence spirituelle annuelle. C’est le Hall des arts, loisirs et sports de Cotonou qui abritera l’événement, ce dimanche 21 décembre à 14 heures précises. Des enseignements spirituels, des recettes de protections et de prospérités pour la nouvelle année, des rituels expiatoires de protection et d’élévation, tout ceci suivi du lancement de son livre ‘’Sagesse africaine selon Orunmila’’. Les frères Guèdèhounguè, les Elites du Bénin et pleins d’autres artistes seront là pour agrémenter la conférence. Le prix d'entrée est fixé à cinq mille (5000) francs CFA, donnants droits à un Savon de protection de prospérité et un Pentacle de Mars contre toutes attaques de maladie aux 1000 premiers.

Patrick Hervé YOBODE