Les artistes, promoteurs et acteurs culturels soucieux de vivre de ce qu'ils savent faire ont compris
(Comme on le dit, "même si vous avez pour ennemi le lièvre, il faut admettre qu'il court." L'aigreur et le mépris finiront par avoir raison des jaloux)
En effet les vendredi 03 et samedi 04 juillet 2020, sur la chaîne de télévision E Télé, les béninois ont eu droit à un discours clair, limpide et cohérent du Directeur Général du Fonds des Arts et de la Culture, sur les réformes en cours au niveau de l'institution. Dans la forme, le fond et surtout la clarté des propos et leur pertinence, le DG/FAC à mis le doigt sur certains avantages visés par ces réformes salvatrices. La comparaison était tellement éloquente qu'elle a mis à nu la pratique qui avait cours dans le secteur dans un passé très récent où c'est la gabegie, les détournements de deniers publics, les rançonnements, bref la mauvaise gestion de l'argent du contribuable béninois qui avait droit de citer. Aujourd’hui c’est ce genres de personnes qui de part leur gourmandise ont tué le secteur qui s'érigent en donneurs de leçons et qui, rêvant d'un retour dans le passé qui les arrange, peignent tout en noir ; même les réformes pensées par le gouvernement de Son Excellence Monsieur Patrice Talon, le Président de la République. Pour ce qui est du Fonds des Arts et de la Culture, Gilbert Déou Malè ne doit pas écouter des âneries que raconte un aigris poussé par la haine, mais doit avancer dans les réformes.
Si on s'en tient à tout ce que raconte sur un certain forum WhatsApp, ‘’le monsieur je sais tout'', ‘’le pédant des temps révolus’’ sur le Fonds des Arts et de la Culture, son Directeur Général Gilbert Déou Malè et les réformes salvatrices en cours, c'est à croire que tout le gouvernement du Président Patrice Talon et lui-même, le Ministre de la Culture et tout son Cabinet, ainsi que le Directeur Général du Fonds des Arts et de la Culture et ses administrateurs, manquent d'intelligence et mieux encore que tous les acteurs culturels toutes catégories confondues sont des ignorants ; qu'ils ne connaissent rien et que le seul intelligent actuellement au Bénin, c'est seulement lui, qui à longueur de journée, passe son temps à tout peindre en noir avec des critiques qui n'en valent pas la peine. Venons-en aux faits.
L’automatisation des artistes, cette belle réforme attise son aigreur. Mais pourquoi ? Pourquoi s'acharne t-il à vouloir que les artistes végètent dans la mendicité ? Quel artiste ne voudra pas être autonome ? En quoi l'autonomisation des artistes, désormais positionnés comme un créateur de richesse dérange ? Pourquoi lorsque le DG/FAC parle de la création d’un acteur culturel de type nouveau, qui se positionne comme un acteur de développement, il s'irrite ? En quoi ça gêne celui qui se croit plus intellectuel que tous les béninois et qui use de l’alignement incohérent des gros mots dans un groupe WhatsApp ? C'est des questions que les artistes doivent se poser.
Ces réformes aujourd'hui sont salvatrices vu qu'elles sont déjà entrain d'apporter des changements qualitatifs dans le secteur en moins de deux ans. L'actuel Directeur Général du Fonds des Arts et de la Culture, mettant en œuvre les réformes du gouvernement a dit non à certaines pratiques. Ainsi par exemple, personne ne doit plus prendre les sous de l'État et aller l'investir dans la médiocrité. Ça aussi le donneur de leçons, n'en a rien compris. En réalité, c'est qu'il n'est pas pour que l'artiste puisse vivre de son art. Notre ‘’monsieur je sais tout'' notre intellectuel a oublié que dans la catégorisation des artistes, il y en a qui sont des professionnels, d'autres semi-professionnels et d'autres encore amateurs. Et à travers les réformes, l'État se propose de les prendre, de les former et après, de les accompagner à aller à l'autonomisation. Qu'est-ce qu’il y a de mal dans une réforme pareille ? Et celui qui se croit comme le plus intelligent des béninois, trouve que c'est mauvais.
Il se contredit et affiche sa mauvaise foi
Ce qui est paradoxal est que ‘’le monsieur je sais tout'' se contredit. Il mélange torchons et serviettes en créant une confusion dans sa propre tête, puisqu'il est le seul à rouspéter contre les réformes et après crie à l’éclaireur. L'on lit clairement dans ces agitations, sa volonté farouche à pousser les artistes à un soulèvement populaire contre le Fonds et son Directeur. C'est bien, puisqu’il est dans son rôle d’opposant au régime de la Rupture. Mais les incitations à la révolte sont punies par la loi. Donc chacun devra être prêt à assumer les conséquences de ses actes. Et la différence entre les animaux et nous les hommes, c'est notre capacité à nous contrôler face à tout événement, même lorsque nos intérêts sont touchés.
Si non c'est à croire qu’on n'est plus en possession de tous ses sens où que tout est en place, alors que tout ne fonctionne plus correctement. La preuve est que : celui qui est sidéré par quelqu’un ou par quelque chose, c'est qu'il est sous le charme de ce dernier ; mais l'instant d'après celui qui dit être sidéré, retourne sa veste contre toute attente, devient arrogant, méprisant, etc. alors que certains vrais acteurs culturels avaient même commencé par le féliciter, le croyant revenir à la raison. Mais loin de là. Point par point, il a peint en noir le bel exposé que le Directeur Général du Fonds des Arts et de la Culture a présenté sur E-Télé, démontrant clairement qu’il est en mission et confirmant ce qui se dit de sa personne.
Parmi tous les acteurs culturels, il est le seul qui trouve qu’il y a confusion. Pour lui l'État doit aveuglément jeter de l'argent dans le même secteur chaque année et sans résultat. C’est le même type qui ici s’était violemment attaqué au logo relooker de l'institution. En son temps, plusieurs acteurs culturels se sont posés la question de savoir en quoi le logo présenté comme tel, nuit au développement du secteur et en quoi ça le gêne lui. On se demande même si de toutes les explications que donne le Directeur Général du Fonds, lui il n'écoute pas ou préfère ne rien n'entendre ou encore qu'il a des transformateurs dans les oreilles. Puisqu’il est connu des acteurs culturels, qu'après avoir reçu le financement au Fonds, ils sont tenus de faire l'activité pour lequel ils ont pris l'argent du contribuable et qu'ils sont tenus d'en présenter le rapport deux mois après avoir fini leur activité. Nulle part le DG/FAC n'a jamais dit que les rapports sont réclamés deux mois après avoir reçu le financement. Mais notre cher ‘’monsieur je sais tout'' , sans bien écouter les propos de l'autorité, vient raconter rien que des sottises.
Somme toute, les acteurs culturels ne sont plus dupes. Mieux, le Président de la République connait très bien cette catégorie de citoyens qui ont montré leurs limites en ce qui concerne la gestion efficace et efficiente des ressources de l'État. S'il croit tromper quelqu’un, c'est qu’il se trompe lui-même. Le DG/FAC à utilisé de manière propre et adéquate les mots subvention, culture, art, industrie culturelle, acteurs de développement, etc. Donc le panier à crabe est dans la tête du confusionniste lui même qui a du mal à suivre le DG. Pour attaquer la clarté des réformes du FAC il faut vraiment se lever très tôt. Et puis le Directeur Général du FAC, Gilbert Déou Malè sait qu'il ne doit pas se laisser distraire par des propos diffamatoires d'un opposant en pertes de vitesse, mais doit aller jusqu’au bout des réformes pour le bonheur des vrais acteurs culturels et de tout ce secteur si cher au Président Patrice Talon.
Patrick Hervé YOBODE
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